C’est à l’occasion d’une intervention en anglais que j’ai pu me rendre compte que la traduction de vins d’Alsace était Alsace Wines et non alsatian wines. La notion d’AOC/AOP, visiblement difficile à maintenir « up to date », s’accroche à notre dernier retour vers la France et reste bien centralisée, formatée, quand bien même on nous dit que ce sont les vignerons alsaciens qui décident. Mais qu’avaient-ils à dire en 1945 et surtout comment se défaire de l’infantilisation docile dans laquelle nous semblons nous complaire. La psychanalyse du vin d’Alsace reste à écrire !